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mardi 6 septembre 2011

SCENE ORDINAIRE DE LA VIE ORDINAIRE EN BANLIEUE PARISIENNE !

On m’a adressé à peu près cette péripétie par courriel :

«  Un homme de plus de 70 ans, vivant avec son épouse dans une petite maison de banlieue parisienne, en moellons, se prépare à aller se mettre au lit quand sa compagne lui précise qu’il avait dû laisser ouverte, par inadvertance, la lumière de sa petite cabane de jardin qu’elle apercevait depuis sa couche.

L’homme remit donc son pantalon, sa chemise et ses bretelles et redescendit nonchalamment les marches pour aller éteindre la lumière…

Mais soudain, il vit des personnes dans son abri en train de dérober des outils et du matériel de jardin…

Discrètement, il retourna à sa maison et téléphona à Police-Secours pour les informer de cette intrusion illégale.

Le standardiste lui posa d’abord diverses questions et lui demanda alors si ceux-ci avaient pénétré par effraction dans son domicile .
Le vieil homme lui répondit négativement mais lui décrivit les faits.

Le policier lui répondit alors : « Toutes nos équipes sont occupées alors je vous conseille de vous mettre à l’abri . Un officier passera vous voir dès qu’il le pourra… »

Le vieillard se plia apparemment aux consignes du policier…

Il attendit quelques secondes, réfléchit, fit ce qu’il pensait bon pour lui et sa femme et rappela le poste de police :

« Bonjour ! Je viens de vous téléphoner. J’avais en effet surpris des voleurs en train se s’en prendre à mes outils dans mon abri de jardin. … Mais … c’est pas la peine de m’envoyer vos gars. J’ai fait ce que je jugeais bon de faire… Je suis allé chercher mon vieux fusil et ai tiré dans le tas.. D’après ce que j’ai constaté, je les ai tous tués… »

« Surtout ! ne bougez-pas ! »

Dans les minutes qui suivirent, cinq ou six voitures blanches de police, lancées à toute vitesse, sirènes hurlantes et gyrophares en action, suivis de tireurs d’élite et d’un hélicoptère étaient dans l’environnement immédiat de l’humble pavillon …qui était très vite ceinturé. Des voitures de premier secours accompagnaient celles des policiers et qu’elle ne fut pas la surprise des hommes en noir quand ils cueillirent les voleurs, bien vivant, dans le réduit.

Un officier demanda alors à l’homme : «  Je croyais que vous les aviez tous tués ? »
Celui-ci, visiblement heureux de ce bon coup , se contenta de lui répondre : «  Je pensais que vous étiez occupé ? »

Les policiers menottèrent alors les voleurs et le vieil homme remonta se coucher…

MORALITE : «  FAUT PAS EMMERDER LES VIEUX ET SURTOUT LES PRENDRE POUR PLUS BETES QU’ILS NE SONT … »

Tirée d’une histoire vraie …
Comme disait mon ami Coluche : "Il ne faut pas prendre les cons que pour des cons..."

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