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mardi 6 mars 2012

UNE PENSEE EMUE POUR LES VICTIMES DES TUEURS NAZIS !


Comme j’en ai reçu la proposition par mon ami Jean-Louis REMANDE, mon intention est d’évoquer en quelques lignes la déportation nazie non pas pour porter une sentence – comme disait en substance ce cher Lino : «  Qui es-tu toi pour me juger moi ? » mais pour vous rappeler une nouvelle fois ces faits atroces et complètement en dehors de la raison dite « humaine » ou de l’entendement .

Je me pose simplement la question : comment des hommes, pourtant civilisés, peuvent agir ainsi au XXe siècle ? Je n’ai pas encore trouvé de réponse valable…


Jean-Louis me demande préciser que parmi les milliers de victimes innocentes des Nazis il y eut d’abord les Juifs, des millions de Juifs mais aussi des Syndicalistes, des Militants communistes, des Résistants, bref des Politiques, des Homosexuels, des Romanichels, Tziganes, témoins de Jéhovah
et autres pratiquants religieux dont le seul tort était de penser, de vivre autrement…

Quand les Alliés découvrirent ce charnier, ils en restèrent médusés ! Ils voulurent ensuite que chacun le sache et en parle autour de lui pour que ce crime ne reste pas impuni.

Les camps nazis étaient de véritables centres de mise à mort. Ce, à grande échelle. Nous avons du mal à imaginer que tout cela avait été pensé et voulu par des hommes dirigés par le plus démentiel d’entre tous : Adolf HITLER !

Les victimes, comme nous l’avons précisé, étaient principalement des JUIFS de tous âges, assassinés par centaine.

Sous prétexte d’une simple douche, hommes, femmes et enfants étaient tués dès leur sortie des wagons.

Il y avait 6 sites principaux d’extermination dont 4 agissaient par « gazage » des déportés.

Les Nazis commençaient par les plus âgés, les femmes, les enfants et bien sûr les handicapés qui étaient même exterminés en Allemagne à ce simple titre. Ils s’attaquaient aussi bien aux invalides physiques ou mentaux.

Les Nazis accentuèrent leur action quand ils mirent en œuvre la SOLUTION FINALE

Les tristes et fameux « fours » furent également utilisés et dans les derniers temps, ces étuves étaient tellement « surchauffées »qu’il régnait dans tout le camp et ses environs une odeur de fumée et de mort…

Des prisonniers faisaient partie de ces « kommando(s) » qui remplissaient les crématoires ou fournaises dans ces quartiers singuliers.


Ils étaient forcés, comme tous les gens « valides », de travailler et souvent de participer au processus de mort.

Il est désormais établi que l’extermination de la population Juive avait commencé bien avant la construction des camps et fut poursuivie jusqu’à leur « libération ».

Elle s’intensifia quand les Nazis pénétrèrent en Russie en 1941. Ces « camps » étaient situés pour la plupart en Pologne occupée .
Certains étaient de « simples »sites de travail tandis que d’autres, où les déportés étaient tués immédiatement, n’était pas équipés de dortoirs ou de « lieux de vie ».

Les prisonniers franchissaient la lourde grille marquée de ces mots « ARBEIT MACHT FREI » (Le travail rend libre ! De qui voulait-on se moquer ?) et ils étaient amenés en ces lieux par des trains spéciaux.

A leur descente des wagons, les familles étaient séparées sans ménagement par des hommes armés et dotés de chiens hargneux, après que leurs effets personnels, rangés prestement dans des valises en carton, étaient abandonnés sur les quais.
Les « soignants » du camp les tuaient au « monoxyde de carbone » qui était introduit subrepticement dans les tuyaux des douches.

Les Nazis utilisèrent également un gaz mortel nommé « Zylon B ».

Les cadavres étaient ensuite enterrés ou brûlés tandis que les objets personnels et notamment les dents et lunettes en or étaient récupérées.

Etaient également repris les cheveux mais aussi les bijoux.

Ceux qui survivaient étaient confrontés au froid, au travail sans limite, aux malheurs, maladies des camps ou à la bestialité des gardiens.

Dans cet univers digne de Dante, leur survie ne durait que quelques jours …
Certains « soignants » se livraient également à des « expériences » sur les prisonniers.

Rien qu’en ce qui concerne les JUIFS plus de 5.500.000 d’entre-eux furent sauvagement tués par les NAZIS.

PENSONS A TOUS CES MORTS !

1 commentaire:

jean louis a dit…

merci gérard , je savais que je pouvais compter sur toi pour rappeler ces atrocités!