En 1983, je devenais ( sous étroite surveillance) 6e adjoint au maire de Vimoutiers « chargé des jeunes et de la culture » et la même année, malgré la candidature officielle d’un proche de Dumeige, le Dr. François MASURE, Président du Syndicat d’Initiative de Vimoutiers qui n’avait connu que 2 responsables, le Dr.Boullard, son fondateur et Mr.Adrien Pommier, directeur d’école à la retraite.
Si malgré les efforts déployés dans l’accomplissement de ma tâche l’attitude de Dumeige et de « ses gens » à commencer par son « conseiller occulte… » CENSURE …n’a jamais varié à mon égard, me tenant en toute circonstance à l’écart des décisions importantes. Je mets au défi qui que ce soit de relever parmi les budgets votés une ligne qui me soit attribuée pour réaliser l’un de mes projets.
Je m’étais « coupé » de mes amis qui me considéraient comme un opportuniste rallié à Dumeige. Précisons que pendant les 10 années durant lesquelles j’ai siègé comme maire-adjoint je n’ai rencontré Dumeige en tête à tête qu’une dizaine de fois ( souvent lors de réunions informelles !) et participé tout juste à une quinzaine de reprises à une réunion municipale . J’agis pris l’habitude d’agir seul … Cet usage me fut fatal !
Lors de mon élection, en 1983, je travaillais comme salarié à l’extérieur de Vimoutiers et demeurais à Camembert.
On me fit remarquer … CENSURE …qu’il était pour le moins « anormal » qu’un maire-adjoint réside en dehors de sa commune et qu’il exerce une profession qui ne « lui permette pas » de remplir toutes ses obligations municipales.
Sur ces conseils « avisés », cédant une fois de plus à « l’amicale pression » de cet homme, je démissionnais et créais en 1984, rue Paul Creton, un commerce de Librairie-Papeterie. Quand à mon logement, je le transférais dans la même rue ...
« On » s’arrangea pour que je ne fournisse ni la mairie ( c'était normal !) ni les écoles (ça l’était moins !)
Il ne me vint pas à l'idée que je devenais particulièrement vulnérable !…
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