Dans le n°748 de « Marianne » l’auteur de l’article « Christine contre Lagarde » s’interroge sur les capacités de la nouvelle Présidente du F.M.I.
Il déclare notamment : « …Or, la potion administrée un peu partout est à l’économie comme la saignée des médecins de Molière était à la santé. Alors que l’endettement public est la conséquence d’un endettement privé transféré aux Etats pour sauver les banques, les marchés somment les pays de rééquilibrer au plus vite leurs comptes en taillant dans le vif. Le résultat d’une telle médication est une déferlante d’austérité qui va tuer la consommation et donc aggraver le déficit. Au nom de quoi les marchés demanderont encore plus d’austérité (ou de « rigueur », cela fait moins peur) pour régler le problème d’une dette qui relève du tonneau des Danaïdes…
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