« …Il
n’y a pas de fatalité à l’actuel déclin de la France. Pas non plus de causes
matérielles dirimantes. Il y a à la racine, une défaillance collective de la volonté :
passivité des gouvernements, découragement des populations.
C’est un fait que,
depuis de Gaulle et Pompidou, on s’est contenté de réformes de confort sans
rien entreprendre pour la prospérité du pays…
…Cette
contradiction explique en partie notre impuissance actuelle, car il n’est pas
en démocratie de progrés qui ne se fonde sur un minimum de consensus national . »
EXTRAIT DE L'EDITORIAL DE JACQUES JUILLARD DANS LE N° 760 DE "MARIANNE".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire