DE RETOUR !

Je suis de retour et ce pour des problèmes techniques !
Merci à mon ami Claude d'avoir permis cette renaissance... et à bientôt !
Gérard ROGER

LES VIMONASTERIENS REFOULES !

J’ai appris cette semaine que de nombreux vimonastériens sur « le carreau » ( c’est à dire sans emploi !) faisaient la demande pour être transférer et demeurer à ARGENTAN où le climat serait plus sain et la réception bien meilleure ( d’après les bruits de couloir…) mais comme disait Michel ROCARD en substance  : «  … on ne peut accueillir toute la misère du Monde ! »

Alors, régulièrement les responsables argentanais, quand il n’y a pas de raison valable à ce changement, répondent : «  NON ! » à la centaine de vimonastériens concernés…

Comme quoi il ne suffit pas de se faire élire il faut aussi veiller ... au bien-être de ses administrés !

ENCORE UNE ANECDOTE !

Quelle ne fut pas ma surprise de reconnaître dans le rôle titre d’Orgon ( grand succès de Marivaux interprété par les comédiens du Théâtre français) mardi soir sur Antenne 2 à l’issue du magazine « SECRETS D’HISTOIRE » qui était consacré par Stéphane Bern à Molière et à la Comédie Française, mon ami Gérard GIROUDON, sociétaire de la célèbre « Maison » de Molière qui joue les rôles les plus divers depuis plus de quarante ans.

Originaire des environs de Lyon, nous nous sommes connus quand il venait se ressourcer, entre deux spectacles ou deux tournées internationales, à Vimoutiers où il possédait une résidence secondaire.

Il a pénétré dans mon bureau pour la première fois dans le cadre de mes activités professionnelles. En effet, il avait pour habitude de me demander conseil avant d’entreprendre chaque phase de la restauration de sa maison. C’est ainsi que nous sommes devenus amis et que j’ai fait la connaissance de sa charmante épouse – qui était Astrologue-informaticienne – et ses deux enfants, une fille et un garçon.

C’est un grand pêcheur devant l’"Eternel" et sa deuxième maison – qu’il a entièrement ou presque refaite de ses mains – s’élève, entre Vimoutiers et Trun, autour d’un ruisseau poissonneux et non loin de l’endroit où Charlotte de Corday d’Armont vint au monde . Elle fut connue sous le nom de « Charlotte Corday » ! Son aïeul n’était autre que le grand Corneille… comme quoi on n’échappe pas à son destin !

Une anecdote à son sujet : quand ma femme était enceinte « jusqu’au cou » il était venu seul et avait dîné le soir à la maison. Il nous a fait nous tordre de rire ( ma femme, ma belle-mère Irène et moi) en mimant des convives qu’il avait croisés le midi même.

Ma compagne s’est tellement esclaffé que le lendemain matin elle accouchait prématurèment d’Hervine … C’est un autre connaissance, voisin de ce cher Giroudon, qui en a pris soin : le docteur Roger Duhamel…

P.S. Cette histoire ne manquera pas de plaire à l'un de mes plus fidèles lecteurs que je salue bien bas !

CELA CÔUTAIT MOINS CHER..!

Quand j’ai été , pour la première fois, élu comme représentant au plan local, il y a plus de 40 ans, le conseil municipal était d’abord financièrement responsable de tout ce qu’il se faisait dans la commune. Il n'y avait pas d'échelon entre la commune et la "préfectorale".

Deuxio, l’eau était alors du ressort d’un ou plusieurs « fontainier(s)» et les ordures ménagères d’ « éboueurs ». 

Il s’agissait d’employés municipaux agissant dans le cadre de régies municipales.

A l’époque il n’existait pas de puissants groupes qui se partageaient ces services !

 Je ne sais pas si c’était mieux mais ce qui est certain c'est que CELA COÛTAIT BEAUCOUP MOINS CHER AUX ADMINISTRES et, de plus, c'était bon pour l'emploi !

APPEL AUX VICTIMES DE L'A.V.C. !

En tant qu'ancien malade de l'A.V.C.et Président de l'A.V.C.- Normandie (*), il me serait agréable de vous entendre et de vous aider et même de vous fédérer pour enfin transmettre vos doléances à qui de droit ... Jamais l'oreille des divers responsables n'a été si attentive. J'attends impatiemment vos messages !
Je compte sur vous !

(*) J'ai été plusieurs mois dans le coma en service de neurologie dans un C.H.U. puis en fauteuil roulant... 

Je suis sorti du milieu hospitalier, de ce "cocon" douillet pour affronter une "autre vie" après presque un an de soins intensifs, non sans séquelles... 
Il reste beaucoup de chemin à parcourir pour "humaniser" la médecine mais attention, nous ne devons pas nous tromper de cibles. Les "soignants" ne sont pas nos ennemis et en premier lieu leur art a fait beaucoup de progrès grâce notamment à leur grand savoir-faire et à leur dévouement . 
Mais, notre rôle est complémentaire. Il est grand temps ne nous saisir à bras de le corps de nos maux et d'en être les avocats.  Rappelez-vous qu'ils nous appartiennent d'abord !
Et oui la maladie concerne en premier lieu les malades ! Réapproprions-nous nos maux et nos douleurs non pas pour les revendiquer mais parce que nous les connaissons fort bien et que nous pouvons en parler mieux ( ou sur un autre plan) que quiconque !

Apporter à ceux-ci et aux victimes de ce mal un peu de "chaleur humaine", de compassion, de réconfort tel sont mon humble projet et mon humble but .

MEILLEURS VOEUX 2013 !

Oeuvre réalisée par une victime de l'A.V.C. ... comme quoi le talent peut naître de la maladie ! Rien n'est jamais définitif !

MEA CULPA EST !

En ce 1^er janvier mon intention est tout d’abord, à vous chers lecteurs, de vous présenter mes meilleurs vœux pour la nouvelle année !

Que 2013 vous apporte joie, santé et prospérité ainsi qu’à ceux qui vous sont chers et, par extension, à vos proches.

Après ces souhaits laissez-moi vous conter la mésaventure qui m’est arrivée lors du dîner de réveillon. Ma récente expérience de « moules à la crème-frites » à la terrasse d'un restaurant de la côte, aurait pourtant dû me servir de leçon !

Bref, ma femme et moi avions réservé pour ce repas de fin d’année un plateau de fruits de mer abondement garni ! C'était une mauvaise idée ... mais nous l'avons comprise trop tard !

Je me suis régalé mais mon « habit de fête » et ma place à table étaient, en fin de soirée, un vrai champ de bataille.

Une truie n’y aurait pas retrouvé ses petits !!

En effet, je m’étais énergiquement et vaillamment battu contre ces bêtes à carapaces du fond des océans. J'y étais même allé comme un forcené mais quand on est comme moi handicapé, il faut mieux éviter ce  genre d'affrontement .

Mes lunettes, ma serviette et mes verres à boire étaient maculés de mayonnaise, de jus divers et de morceaux de carcasses !

Cette mauvaise habitude devrait me rappeler que l’évidence me rattrape toujours !